Mais entre ceux qui nous ont quittés pour l’au-delà et ceux que nous ne pouvons voir à cause de la crise mondiale de la COVID-19 qui sévit actuellement, ces fêtes de fin d’années auront forcément une saveur différente. Dans l’espoir de vous aider à envisager ces fêtes de fin d’année d’un œil plus optimiste, d’adoucir la peine et la nostalgie que vos souvenirs peuvent provoquer, voici quelques idées de la part de l’équipe Le Nécrologue.

L’Holocauste, la Shoah, l’Armistice… des termes qui sont inconnus de certains et plus ou moins connus par d’autres. Mais ces notions sont bien plus que des sujets d’étude. C’est un passé tragique, une expérience dramatique vécue par des millions d’êtres humains il y a 75 ans. En effet, toutes ces notions sont liées à une des tragédies les plus marquantes de l’Histoire : la Seconde Guerre mondiale.

Le 2 janvier 2020, deux étoiles sont montées au ciel pour aider à nous éclairer. Ces étoiles ce sont 2 jeunes de 17 ans, Catherine et Jérémy, ayant fait partie de mon entourage, qui ont perdu la vie dans un accident de voiture. Et c’est là où j’ai vu un miracle se produire : leur vie, aussi courte qu’elle ait pu être, a réussi à rendre meilleure celles de 4 autres personnes et plus d’une trentaine d’autres par la suite.

« C’est la hantise et le désir de l’Homme de laisser une trace indélébile de son éphémère passage sur cette terre qui donnent naissance à l’art. »
Il y a quelques jours, en lisant cette citation de l’artiste Brassaï, certaines questions se sont imposées à moi : avons-nous tous ce besoin de marquer notre passage sur terre ? Comment peut-on le faire ? Et a-t-on toujours envie que cette marque soit visible par tous ?

Durant la pandémie, beaucoup ont vantés le dévouement et les mérites de nos anges-gardiens: les travailleurs du milieu de la santé, les préposé(es) aux bénéficiaires et les employé(es) des services d’alimentation. Mais une branche, tout aussi essentielle, semble avoir été un peu mise de côté dans nos esprits : les maisons funéraires.

Et si la communication avec un proche décédé était possible? Et si vous aviez encore la possibilité de lui parler à tous les jours? Et si vous étiez confronter à la mort et que vous aviez le droit de « re-vivre »?